Com'quoi

Voilà enfin un peu de temps pour rédiger sur le temps, le temps qu’il fait. Car cela n’a échappé à personne…il a beaucoup plu cet été. Et en période estivale, où soleil rime normalement avec chiffre d’affaires, je vais tenter de vous démontrer que cette météo est profitable pour certains ! Si si… Je sais, on aura rarement autant parlé du temps qu’en ce moment et personnellement j’en profite pour capter votre audience car lorsque les conditions météo changent, le temps passé devant la télévision ou internet peut varier jusqu’à 45 minutes !  Alors ne bougez pas, instruisez-vous ! Aucun doute sur le fait que la météo influence les comportements d’achat des consommateurs : il fait chaud, on achète une glace ; il pleut, on va au cinéma ! C’est encore une fois une évidence me direz-vous, mais pourtant ils sont rares ceux qui tiennent compte du climat dans leur démarche commerciale. Car non seulement la météo influe sur notre vie quotidienne, mais elle joue un rôle majeur sur notre consomma

Utiliser Reppler, un nouvel outil bien pratique qui vient de sortir. Il permet, en scannant automatiquement votre profil via Facebook connect, de savoir si l'impression que vous donnez est plutôt neutre, positive, ou négative. Reppler vous signale aussi les contenus inappropriés ou les failles de sécurité. www.reppler.com

Quel couple ne s’est pas pris la tête un soir de match ? Loin de moi l’envie de régler mes comptes à ce sujet, ni expliquer aux femmes ce qu’est un « hors jeu » (perso, on a dû me l’expliquer cent fois, toujours pas compris…) mais plutôt de vous apporter quelques données parfois méconnues à ce sujet. Lui qui d’habitude est si peu loquace, devient soudainement très actif et participatif au moment où la passion prend forme, mais pas pour vous mesdames ! Je dis « lui », car statistiquement, c’est une passion typiquement masculine. La constatation est d’autant plus évidente, pour peu qu’il la partage avec d’autres, religieusement avachis dans le canapé face à la télé, une bière à la main…où en compagnie d’autres fanatiques au bar du coin. Ce qu’il faut comprendre (ou pas), c’est que notre homme en a besoin. À titre de comparaison, nous, les femmes, avons le shopping. Et justement, on n’imagine pas à quel point cela peut être existentiel, une véritable raison d’être. 1 personne sur 25 y j

Un grand merci à ceux qui ont pris le temps de lire mes articles ! Vous êtes à ce jour 305 à m'avoir lue depuis la mise en ligne du premier. Il manque juste quelques commentaires, ou alors ce que j'écris ne fait pas débat...j'y crois peu ! Sachez que vous pouvez aussi poser des questions sérieuses ou non sur ce vaste thème qu'est le marketing. Pour ma part, je ne dirais qu'une chose à ce sujet : chacun en fait un peu tous les jours sans en avoir l'air. Continuez de lire ou partager, cela flattera mon ego (ben oui) et m'encouragera à continuer. A très bientôt donc. Clo

Dans le monde de la téléphonie, y a deux sortes de gens : les smartphones et les autres. Et dans le monde du smartphone, il y a les Iphone, et les autres. Un mobile vendu sur 4 est un smartphone. D’ici 2015, le nombre de smartphones vendus dans le monde atteindra 800 millions. Plus qu’une innovation technologique, avoir un smartphone, c’est d’abord adopter un « style de vie ». Un possesseur de smartphone sur 5 avoue être accroc à son mobile. Portrait robot : Iphonaute, vous êtes un homme, âgé de 25 à 44 ans, urbain, CSP+,  vous l’utilisez même à la salle de bain et n’hésiteriez pas à plonger la main dans les toilettes si par malheur vous laissiez tomber votre précieux mobile. Bref, vous ne vous en séparez jamais, mais pour quelle utilisation vraiment ? On ne s’en passe plus : en faisant des courses (88%), en attendant des rendez-vous (80%), en marchant (78%), chez des amis (68%) et en beaucoup d'autres circonstances, comme en mangeant au restaurant, en faisant de l’exercice… Et té

Tout le monde (se) vend. C’est un fait. Du speedating à la "force de vente". On se vend à l’autre, dans ses valeurs, besoins. D’une manière sociable, on cherche à créer le lien, des affinités, se faire des amis, être "bien perçu", plaire à ses futurs beaux-parents… D’une manière commerciale, on cherche à gagner un nouveau client, le fidéliser, être recommandé, faire bonne impression, augmenter son chiffre d’affaires… Toute "vente" implique un "échange". Une sorte de troc implicite ou explicite ! Au sens premier, une vente est l'opération par laquelle un bien ou un droit détenu par un vendeur est cédé à un acheteur en échange d'une contrepartie, généralement la remise d'une somme d’argent. ( source wikipédia ) Il y a donc forcément contrepartie… Mais plus encore, livraison. Il faut livrer ce qu’on vend, c’est un principe fondamental du processus, faute de quoi vous encourez quelques représailles ! Être vendeur peut s’apprendre, mais

Être patron, ça ne s’apprend pas à l’école, et c’est bien dommage. Face à l’incapacité de certains, je milite pour que soit décerné un diplôme de « patron ». Être patron de soi-même, c’est plutôt facile. Reste à maîtriser la gestion administrative, en admettant que l’on soit doué pour la gestion commerciale. Être patron d’un ou plusieurs salariés, c’est un autre monde… Si j’étais patron, je n’oublierais pas que j’ai été salarié. Si j’étais patron, je ferais le point sur ce que je sais faire ou pas, et ferais appel aux personnes qualifiées pour m’épauler. Si j’étais patron, je serais à l’écoute des besoins de mes employés autant que de mes clients. Si j’étais patron, je n’oublierais pas que mon entreprise n’est rien sans ses employés. Si j’étais patron, je serais aussi vigilent face aux erreurs qu’aux réussites de mon équipe. Si j’étais patron, je m'instruirais de l'expérience de ceux qui ont vécu la même situation que moi et qui ont réussi après bien des efforts et des remises

En cours d'écriture ! Mais il semblait intéressant de vous faire lire cet article d'abord : Mais que fait le patron pendant la sainte journée ? J'attends vos commentaires, surtout si vous êtes patron ;)

Hum…je vois d’ici l’audience de mon blog augmenter ! De quoi va-t-elle donc parler ?! Comme si vous ne l’aviez pas deviné… Sex toys et sites de rencontre ??? Eh bien non. Vous avez la télévision pour ça et son lot d’émissions consacrées au sujet. Sachez tout de même, que se glisser sous la couette est élu l'activité la plus populaire en temps de crise (par 37% des deux milliers de Britanniques interrogés par l'institut YouGov). Eh oui, "le réflexe du nid", c'est-à-dire le fait de se réfugier au lit, pimenter sa vie de couple et privilégier le sexe à tous les autres loisirs vaut tous les remèdes à la morosité ambiante ! Quant à la "net rencontre", elle a séduit près de 15 millions de personnes d’après l’INSEE en 2004. Rapide, anonyme, facile, peut-être le nouveau réseau social des temps modernes… Mais là n’est pas le sujet. Quoi que… Abordons plutôt le marketing relationnel, c’est plus sérieux. Souvent sous-estimé, le marketing relationnel est indispen

Qu’on se rassure, je ne vais pas parler politique, mais plutôt marketing « vert », « éthique », « responsable »… si si, il le faut bien car c’est aujourd’hui une réalité économique et l’enjeu est de taille. Nous sommes tous responsabilisés dans notre mode de vie, nos achats, notre impact environnemental dans chacun de nos gestes du quotidien. TOUT est et doit être « vert ». Mais bon sang… qui ne s’est pas un jour exclamé : « ils vont nous lâcher un peu avec leur écologie ?! ». J’avoue, moi, oui. C’est encore une histoire de valeurs… Ce qui pouvait être « tendance » hier est dorénavant « incontournable ». L’argument écologique d’un produit ou d’un service devient une caractéristique intrinsèque mise en avant. Les consommateurs exigent des produits favorables à l’environnement mais se perdent dans une jungle d’écolabels et autres certifications. « - Clo, tu pourrais trouver une touche verte à mon entreprise ? -        Mais bien sûr, attends voir, je dois avoir ça quelque part dans m

Se reporter à l'article précédent. Remplacer "mère" par "père" et "fleurs" par "parfum". Bonne fête papa !

Aaaah la fête des mères… LE rendez-vous incontournable de Mai. C’était un peu obligé que j’en parle ! Oubliés colliers de pâtes et cendriers en boîte d’allumettes, place aux fleurs, parfums et autres bijoux offerts par… papa, de la part des enfants, évidemment. Ils sont 59% à faire un cadeau à cette occasion et pour un budget en moyenne de 40 €. « Avant je m’en fichais de la fête des mères et Saint Valentin, mais depuis qu’on a le restaurant, vaut mieux pas se louper ! » Je ne vous apprends rien : la fête des mères se joue dans les centres commerciaux, quand bien même vous êtes inondés de mails publicitaires en ce sens depuis plusieurs jours. Tout bon commerçant qui se respecte se doit de suivre une certaine saisonnalité d’offres pour, comme disent les pros, créer du trafic en magasin et par conséquent du chiffre d’affaires. Qu’on ne se méprenne pas, je ne suis pas féministe. Je revendique d’ailleurs le droit aux fleurs ce jour-là ! Je dénonce juste, comme beaucoup, le côté parfois t

Eh oui, on ne parle bien que de ce qu’on connaît… alors voici un article sur ce marché porteur via ma propre expérience. Ne vous en faites pas, je vais, bien entendu vous épargner les détails négatifs ou trop personnels et me concentrer sur les avantages liés à ce business oh combien mercantile ! 1 français sur 2 divorce. 1 famille sur 10 est « recomposée » Et 88% des familles recomposées hébergent des enfants de plusieurs unions, elles sont 2 fois plus nombreuses à avoir 4 enfants. Cette « polygamie rétroactive » bouscule quelque peu vos habitudes et votre porte-monnaie. Du jour au lendemain vous jouez à impressionner votre interlocuteur qui vous pose la question simple : « - Vous avez des enfants ? Oui ? Combien ? » Vous livrez la réponse anodine : « 4 » et scrutez sa réaction sur son visage… Car la famille nombreuse reste rare. Mais pour vous, couple recomposé, vous n’avez que faire des chiffres, et pourtant… côté business, la fameuse « fête des mères », par exemple, prend tout s

Question fatidique du passage en caisse ! réponse fermée : oui ou non. Surtout, ne pas répondre non… La fidélité est une valeur fondamentale en amour, amitié, travail et surtout, consommation. Maître mot du commerce lambda, qui résonne en écho dans les oreilles de tout acheteur. Que se cache-t-il derrière cette (foutue) carte ? Attention, ne pas confondre fidélité et satisfaction…les deux ne sont pas forcément liés. Démonstration :  je fais mes courses toutes les semaines chez Carrefour Market (pour ne pas le nommer), au bout de la énième demande « - Vous avez la carte du magasin ? » , je la prends. Pas pour les avantages qu’elle est sensée m’apporter (que je ne connais d’ailleurs pas…), mais uniquement pour qu’on ne me pose plus la question. Et je ne fais pas mes courses chez Carrefour car je suis satisfaite de l’enseigne (en fonction des jours, les rayons sont plutôt vides !), mais parce que c’est le supermarché le plus proche de chez moi. Et croyez-moi, mon portefeuille va imploser

A lire... De quoi parlera-t-on à l'eG8 ? Bill Gates dévoile la botte secrète du patron de Facebook

La cyber-réputation, ou réputation numérique, est l’image que les internautes se font d’une marque ou d’une personne en fonction de traces la concernant sur le Web.  Source Wikipédia Qui n’a pas un jour tapé son nom sur Google, pour voir…ce qui est visible de vous ? « - Allo ?! Clo ? dis, tu pourrais supprimer la photo de moi sur ton profil FB stp ? » On imagine la scène, vécue au moins une fois, on mentalise la réponse, évidente. Première interrogation : pourquoi avoir Facebook si on ne souhaite pas apparaître en « public » ? Deuxième interrogation : pourquoi ne pas apprendre à paramétrer son compte Facebook pour maîtriser son image publique, ou pas ? Troisième interrogation : quelle utilisation à titre pro ? Loin de moi l’envie de partir dans un historique « à la Wikipédia  » sur ce thème. Non, l’idée serait plutôt de vous donner mes arguments et mon vécu vers une meilleure utilisation. Les réseaux sociaux ont cet intérêt naturel à flatter votre ego ou vous sentir moins seul (au c

Il en fallait un, le voici ! LE blog de Clo. Pas de panique, l'idée n'est pas de donner des leçons à mes lecteurs (s'il y en a...), mais apporter quelques réponses concrètes et surtout personnelles aux questions que je me pose ou, le plus souvent, me sont posées. Bien entendu, "les conseilleurs ne sont pas les payeurs", et forte de cet adage, je me garderai bien de vous en donner (des conseils!). Conçu comme un journal, mon objectif premier est, je l’avoue, purement égoïste, à savoir : me perfectionner dans ce mode de communication virtuel. Sa création n’est donc qu’une suite logique aux réseaux sociaux facebook et autres viadéo ! Je revendiquais pourtant le véritable échange et non la « virtual community », com’quoi…il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! PS : on essaiera de parler Com' comme Communication à l'occasion, vu que c'est mon domaine. Allez toujours faire un tour par là en attendant :  http://www.viadeo.com/fr/profile/clot